Clinique de physiothérapie Val-dOr

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Le service de soins à domicile en physiothérapie existe pour les gens qui éprouvent des difficultés à se déplacer à l’extérieur de leur domicile.

Les mêmes traitements de physiothérapie peuvent être prodigués tant à domicile qu’en clinique. Que ce soit pour la réhabilitation à la marche, la récupération des mouvements, des programmes d’exercices, ou des traitements anti-inflammatoires et analgésiques, votre physiothérapeute sera en mesure de vous apporter les soins nécessaires.

Les visites à domicile peuvent s’avérer pertinentes afin d’évaluer votre poste de travail, élaborer et corriger un programme d’exercices ou encore, faire l’analyse ergonomique de votre environnement tant au travail qu’à la maison.

La plupart des assurances personnelles couvrent les frais de physiothérapie. Si vous être bénéficiaire de la CSST ou de la SAAQ et que les soins à domicile sont nécessaires et prescrits par un médecin, ces frais seront défrayés sur approbation de ces organismes.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information à ce sujet!



La périostite tibiale est par définition une inflammation du périostite (enveloppe de l’os) située sur la bordure interne ou externe du 2/3 inférieur du tibia (os de la jambe)

Un manque de souplesse musculaire, un débalancement de force des muscles de la jambe, des traumatismes ou problèmes circulatoires sont autant de situations pouvant mener à ce problème. Bien qu’on la retrouve souvent chez les sportifs, celle-ci peut tout de même affecter plusieurs autres personnes.

Les personnes atteintes se plaignent généralement de douleurs au niveau du 2/3 inférieur du tibia, survenant soit lors d’activités sportives, ou tout simplement dans les cas plus aigus lors de la marche sur terrain plat ou escalier.

Pour prévenir la périostite, il est important d’utiliser de bons principes d’entraînement, de porter des chaussures adéquates et d’éviter la marche ou la course sur des surfaces dures.



De nos jours, plus de 75 % des gens souffrent de maux de dos au moins une fois dans leur vie. De plus, le mal de dos est une des principales causes d’absentéisme au travail. Les mauvaises postures, des positions de travail inadéquates, les techniques inappropriées de soulèvement de charges ou les mouvements de rotation du tronc exécutés trop rapidement ou trop fréquemment sont autant de sources pouvant provoquer les maux de dos.

Différentes structures peuvent être à l’origine de ces douleurs. Les causes les plus fréquentes sont les suivantes :

Douleur d’origine discale : le disque (petit coussin situé entre deux vertèbres) est alors en cause. Il provoque habituellement une douleur locale lombaire (au bas du dos) et aux fesses, aggravées par la flexion du tronc (se pencher, s’asseoir). Dans un stade plus avancé, le disque peut compresser ou irriter la racine d’un nerf et être à l’origine de la sciatalgie ou de douleurs aux jambes

Les syndromes facettaires : les facettes forment les articulations des vertèbres. La douleur provenant des facettes est aussi localisée au niveau lombaire et aux fesses, mais est habituellement aggravée par l’extension lombaire et la position debout prolongée. Elle est fréquemment le site d’arthrose.

Le dérangement intervertébral mineur : souvent le résultat de mauvaises postures, d’un traumatisme, de mouvements unilatéraux répétés ou encore suite à une blessure conduisant à l’immobilisation, l’articulation peut développer une ankylose gênant sa mobilité normale.

Les douleurs provenant des ligaments et des muscles : suite à un mauvais mouvement, une chute ou un traumatisme, les ligaments et les muscles peuvent être étirés provoquant ainsi de petites déchirures au niveau des fibres.

À l’évaluation, votre physiothérapeute sera en mesure de déterminer la cause de vos douleurs et d’en établir le traitement approprié : le programme d’exercices (assouplissement et renforcement), correction de la posture, conseils ergonomiques, mobilisations, vertébrales, tractions, modalités analgésiques (contrôle de la douleur) et anti-inflammatoires, etc.



La fracture de colles est une fracture du radius (os de l’avant-bras du côté du pouce), environ 2 centimètres en haut du poignet.

Cette fracture se produit le plus souvent lors d’une chute sur la paume de la main lorsque le poignet est en extension. C’est une des fractures les plus communes chez les personnes de 40 ans et plus, surtout chez les femmes.

Dans la majorité des cas, le fragment rattaché au poignet se déplace vers le dos du poignet et vers le pouce. Une partie du cubitus (l’autre os de l’avant-bras) se fracture aussi fréquemment.

Dans un premier temps, l’immobilisation du poignet et de l’avant-bras dans un plâtre est nécessaire pour environ 6 semaines.

Une fois le plâtre enlevé, la main et le poignet seront enflés, très raides et faibles dû à l’immobilisation prolongée. Dans ce cas, le physiothérapeute pourra réhabiliter le membre avec des exercices de mobilité et de renforcement, des mobilisations, le bain-tourbillon, les bains contrastants et l’électrothérapie.



Les ménisques sont des cartilages en forme de C, situés dans les genoux, entre le fémur (os de la cuisse) et le tibia (os de la jambe). Il y en a deux par genou. Ils ont pour fonction d’absorber les chocs en agissant comme de petits coussins et ils augmentent la stabilité des genoux.

Un ménisque est déchiré le plus souvent parce qu’une force de torsion est appliquée au genou lorsqu’il est fléchi. Ceci provoque de la douleur, de l’œdème ainsi qu’une diminution de la mobilité du genou. À ce stade, le physiothérapeute utilisera de la glace pour diminuer l’œdème, de l’électrothérapie pour la douleur et parfois des béquilles pour aider la marche.

La personne sera souvent incapable de faire une extension ou une flexion complète de son genou, comme s’il était bloqué. Il arrivera aussi que le genou se dérobe lors de la mise en charge.

Avec les mobilisations du genou, de la stimulation électrique, des exercices pour renforcer les muscles et la correction du patron de marche, le physiothérapeute pourra réhabiliter le genou et la personne retrouvera une fonction normale.

Les ménisques sont des structures peu vascularisées, ce qui veut dire qu’ils guérissent rarement d’eux-mêmes. Si la déchirure est très importante, il se peut qu’une chirurgie soit pratiquée pour enlever partiellement ou complètement le ménisque. La physiothérapie postopératoire peut ensuite être nécessaire pour renforcer la jambe.



Connue aussi sous le nom d’épaule gelée, la capsulite est une atteinte en profondeur de l’articulation de l’épaule. L’enveloppe de cette articulation appelée capsule se rétracte, causant ainsi une sévère limitation du mouvement accompagnée de douleur importante.

Cette condition peut apparaître de façon spontanée ou à la suite d’une période où l’épaule est demeurée relativement immobile à cause d’un traumatisme (chute) ou secondairement à une condition inflammatoire telle que bursite ou tendinite. Elle peut même être reliée à un problème cervical. L’incidence est plus élevée chez les gens atteints du diabète et d’arthrite inflammatoire, et plus fréquente chez les femmes entre 40 et 70 ans.

En physiothérapie, la première considération est la prévention, afin d’éviter une immobilisation prolongée, un programme d’exercices d’assouplissement accompagné de mobilisation effectuée par votre physiothérapeute devront être faits tout en contrôlant la douleur avec l’utilisation de modalités analgésiques et anti-inflammatoires (glace, ultra-sons, TENS, etc.).



Un segment lombaire (vertèbre du bas du dos) peut être classifié comme instable lorsqu’il démontre un mouvement excessif ou anormal. Les structures qui retiennent le segment mobile peuvent devenir affaiblies par le processus de dégénération et aboutir à l’instabilité

Les causes d’instabilité peuvent être multiples : traumatisme, grossesse, sport, hyperlaxité ligamentaire généralisée, maladies osseuses, raideur au niveau des segments adjacents, instabilité post-chirurgie, exécution de manœuvres répétitives, mauvaise hygiène posturale, etc.

La douleur peut être ressentie au bas du dos, avec ou sans irradiation au niveau des jambes. La personne peut également ressentir des craquements, des blocages, avoir le besoin de se faire craquer et de se lever la nuit pour se soulager et avoir de la difficulté à maintenir des postures prolongées.

Votre physiothérapeute sera en mesure de vous aider par des modalités analgésiques et anti-inflammatoires, des mobilisations des segments hypomobiles, du renforcement des muscles stabilisant la région lombaire, etc. N’hésitez pas à le contacter.



L’instabilité d’épaule se traduit par une perle de contact partielle ou complète des surfaces formant l’articulation de l’épaule. Elle survient, la plupart du temps, de façon non volontaire suite à une chute, un coup direct sur l’épaule; des petits traumatismes répétés (par exemple chez les lanceurs de baseball, les nageurs ou les joueurs de volleyball, etc.) ou une mauvaise position de sommeil.

La douleur au repos ou dans un mouvement précis, une tendinite qui réapparaît quelque temps après avoir été traitée, la sensation de bras morts, les engourdissements et picotements, des craquements et la sensation que l’épaule sort de son articulation sont tous des éléments susceptibles d’être présents chez une personne souffrant d’instabilité d’épaule.

Le contrôle neuromusculaire de l’épaule et de la ceinture scapulaire, la proprioception et la force sont souvent déficients chez ces personnes.

Le physiothérapeute pourra soulager les symptômes accompagnant l’instabilité d’épaule et établira un programme d’exercice visant à améliorer force, contrôle et proprioception. Ceci vous permettra de retourner à vos activités de tous les jours et à votre sport favori.



La colonne vertébrale est formée de vertèbres qui sont séparées par de petits coussinets appelés disques. La fonction de ces disques est d’absorber les chocs et de permettre la mobilité de la colonne vertébrale. Le disque intervertébral comprend deux composantes distinctes : un noyau situé au centre du disque et les anneaux fibreux qui entourent par plusieurs couches le noyau et assurent ainsi que ce dernier reste bien au centre du disque.

Lors d’une hernie discale, le noyau, une partie du noyau ou une partie de l’anneau fibreux se retrouve propulsé en postérieur du disque pouvant ainsi faire pression sur la racine nerveuse ou le sac dural. Les signes cliniques les plus souvent rencontrés sont : un blocage en flexion, une déviation latérale du tronc, une douleur aiguë au niveau lombaire, une sciatalgie (douleur au niveau de la fesse, de la cuisse et/ou du mollet), des engourdissements ou des faiblesses au niveau des membres inférieurs.

Le mécanisme de blessure le plus souvent rencontré est lorsqu’une charge compressive soudaine est appliquée sur les vertèbres lombaires alors que celles-ci sont placées en flexion et en rotation. De mauvaises techniques de soulèvement de charge, de mauvaises habitudes de posture, des positionnements assis inadéquats prolongés et répétitifs, une mauvaise chute sont autant de situations pouvant entraîner des blessures au niveau du disque.

Une intervention rapide en physiothérapie consistera tout d’abord à réduire tout blocage du tronc en flexion ou en déviation latérale (approche Mckenzie). Par la suite, une rééducation musculaire et proprioceptive intensive sera initiée. Finalement, il sera important que les vertèbres lombaires et le système neural retrouvent leur mobilité normale.



Une fracture de stress est une fissure osseuse résultant de contraintes physiques répétées. Les fractures de stress sont habituellement associées aux activités physiques comportant des ondes de choc, comme la course ou le sauf, mais elles peuvent aussi se produire avec la pratique de n’importe quelle autre activité physique. Bien que plus fréquente dans les jambes, une telle fracture peut atteindre tous les os du corps.

Voici les causes habituelles des fractures de stress : grande quantité d’exercices avec récupération insuffisante, progression trop rapide de l’intensité des exercices, fatigue musculaire (les chocs habituellement absorbés par les muscles sont alors transmis directement à l’os), mauvais alignement du pied ou des membres inférieurs et une surface d’entraînement dure, inclinée ou accidentée.

Les signes cliniques d’une fracture de stress incluent une douleur à la palpation du site fracturé, un gonflement des tissus mous voisins et une douleur lors de l’application d’un stress mécanique sur l’os lésé durant la pratique d’une activité physique. Si elle n’est pas traitée, la douleur pourra apparaître tôt durant l’activité et persister une fois l’activité terminée.

Le traitement d’une fracture de stress nécessite l’arrêt de l’activité et la maîtrise de la douleur et de l’inflammation, le rétablissement de la force et de la fonction musculaire puis la reprise graduelle des activités physiques et sportives.

Pour prévenir une fracture de stress, la quantité et l’intensité des exercices doivent augmenter progressivement. On doit également accorder de l’importance au choix des chaussures et du terrain sportif. Enfin, des exercices d’étirement et de renforcement musculaire doivent faire partie de votre programme d’entraînement.


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